Ebook gratuit L'Homme des hautes solitudes, by James Salter
Ebook gratuit L'Homme des hautes solitudes, by James Salter
De plus, cette publication est faite dans les types de données souples; vous pouvez profiter de la lecture en obtenant les données dans votre ordinateur portable, gadget informatique et gadget. De nos jours, la lecture ne se termine pas être une activité traditionnelle à faire par des individus particuliers. Beaucoup de personnes de beaucoup d'endroits sont toujours commencent à lire en début de matinée et aussi chaque fois supplémentaire. Il confirme que les individus ont maintenant grande curiosité et ont l'esprit énorme pour vérifier. En outre, lorsque L'Homme Des Hautes Solitudes, By James Salter est publié, il vient d'être une publication la plus nécessaire à l'achat.

L'Homme des hautes solitudes, by James Salter
Ebook gratuit L'Homme des hautes solitudes, by James Salter
Quand je préférais examiner quelque chose, je tiens à lever les yeux vers certaines publications. Et maintenant, je ne comprends toujours pas de quel genre de livre qui pourrait me aider faire le désir de ce temps. Est-ce que tu ressens la même chose? Attendez, tout le monde peut me dire exactement ce qu'il faut choisir de captiver mon temps solitaire et libre? Quel type de livre est vraiment conseillé? Un tel point difficile, c'est exactement ce que vous aussi bien que moi peut-être vraiment sentir quand avoir beaucoup plus de loisirs, ainsi que ont aucune idée de lire.
Si vous avez effectivement connu de ce site, il sera certainement mieux et aussi vous avez réellement compris que les guides sont souvent dans les types mous de documents. Et maintenant, nous allons certainement vous inviter avec notre collection flambant neuf, L'Homme Des Hautes Solitudes, By James Salter Ceci est notre livre mis à jour pour fournir la liste de cette publication d'un site Web. Vous pouvez le prendre comme référence pour votre tâche ainsi que votre tâche quotidienne. Il n'y a pas idée de nous rejoindre avant de découvrir la publication difficile. Cependant ici, vous pouvez le découvrir si facile que cela pourrait vous faire sentir vraiment heureux.
Obtenir le contenu web rempli du livre même dans les données douces est en fait exceptionnelle. Vous pouvez voir exactement comment le L'Homme Des Hautes Solitudes, By James Salter est présenté. Avant de vous guide, vous savez peut-être pas exactement ce guide. Cependant, pour le point encore plus pratique, nous vous partager peu au sujet de ce livre. Ceci est un guide pour conseiller qui vous donne une bonne chose à faire. Il est en outre offert en référence très excitant, par exemple, et aussi des explications.
Ainsi, toutes les personnes qui quittent L'Homme Des Hautes Solitudes, By James Salter se sentiront certainement envie de faire les choses eux-mêmes. Cela dépend de la façon dont les visiteurs juste regard et pensent de ce livre. Cependant, en général, il est une vitrine des idées étonnantes de l'analyse du livre. Il sera également vous fournir les systèmes en circulation de la pensée créatrice. Bien entendu, il vous offrira certainement bien meilleure idée de excellences. Il est la raison pour laquelle nous vous fournissons toujours la meilleure publication qui peut rendre votre vie meilleure. Maintenant, sentez-vous vraiment la vie pour obtenir les moyens étonnants de succès de la publication.
Détails sur le produit
Broché: 264 pages
Editeur : Points (21 août 2014)
Collection : Points
Langue : Anglais, Français
ISBN-10: 275784556X
ISBN-13: 978-2757845561
Dimensions du produit:
10,9 x 1,5 x 17,8 cm
Moyenne des commentaires client :
3.5 étoiles sur 5
8 commentaires client
Classement des meilleures ventes d'Amazon:
78.539 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)
Très belle description de l'escalade en haute montagne et de son contexte.A lire par les amateurs mais aussi par les connaisseurs.
le héros ne ressemble pas à tout un chacun, ses valeurs personnelles, ses ambitions le poussent à toujours aller ailleurs, souvent plus loin. Original et talentueux
Une autre façon de s'engager, d'aller au delà de soi-même.Que ce soit dans le combat aérien ou sur les pentes glacées du massif du Mont-Blanc, Salter exalte la gratuité de la conquête, de la traversée du risque.
Après deux romans basés essentiellement sur son expérience de pilote de chasse, The Hunters (1957) et The Arm of Flesh (1961, retravaillé sous le titre Cassada, 2000), James Salter (1925-2015) a trouvé sa voie et sa voix dans Un Sport et un Passe-Temps (1967) et, surtout, Un Bonheur Parfait (1975, avec ce titre magnifique en anglais : Light Years). Un style laconique, dépourvu de toute emphase mais piégeant le lecteur, pour simplement dire le ressenti atemporel de gens banals, confrontés à l’existence au quotidien – avec ceci d’exceptionnel qu’ils ont parfois tendance à ressentir les choses avec une acuité quasi douloureuse. Cette façon d’écrire se retrouve dans L’Homme des Hautes Solitudes (Solo Faces, 1979), roman sublime sur une quête de l’extrême : la conquête des sommets par un escaladeur surdoué.Ce pourrait être du Frison-Roche, un drame en haute montagne où l’humain se révèle dans les plus rudes des conditions ; c’est du Salter, et l’héroïsme n’est pas le propre de ses personnages, trop complexes pour mériter la moindre médaille du mérite. L’Homme des Hautes Solitudes du titre, c’est Vernon Rand, couvreur de son état en Californie au début du roman, âgé de « vingt-cinq ou vingt-six ans » : dès le premier chapitre, où il sauve la vie de son collègue Gary sans en faire tout un plat, le lecteur connaît son sang-froid, sa capacité à prendre des décisions rapides en cas de danger – bref, Salter parvient à en dresser un portrait psychologique et physique assez complet, en montrant au passage le ressenti de celui qu’il sauve, sans avoir l’air d’y toucher ; c’est là toute son élégance, son art du « less is more », et le lecteur, accoutumé à son style, sait qu’il va être subjugué durant les deux cent cinquante pages qui suivent.Et puis il y a, ainsi que déjà mentionné, ce laconisme magnifique, pour autant qu’il ne s’agisse pas d’un oxymore, ces dialogues à la brièveté exemplaire dont Salter était passé maître. Ainsi, lorsque Rand quitte la « jeune femme de Santa Barbara », Paula, dont il partageait la maison parce qu’il sent l’appel de la montagne, voici ce que ça donne, et c’est une leçon pour bien des romanciers bavards : « Elle aurait voulu imaginer une repartie mordante, une réplique qui aurait fait mouche et l’aurait obligé à rester mais elle se borna à murmurer :— Tu sais, je t’aimais bien.— Je reviendrai.— Vraiment ?— Sûr et certain.— Quand ?— Je ne sais pas. Dans un an. Deux, peut-être.— Qu’est-ce que tu vas faire ? Te remettre à l’escalade ? Lane m’a dit que tu as rencontré d’anciens amis à toi.— Un ami.— Il part avec toi ?— Non.— Eh bien… »Ensuite, lorsque Rand se retrouve en Suisse (« Il pleuvait sur Genève. », première phrase du chapitre suivant la rupture, une phrase quasi flaubertienne dans ses intentions : dire un maximum en un minimum de mots), qu’il mène une vie de quasi-vagabond après s’être établi à Chamonix, logeant en divers endroits, aimant aussi sincèrement que fugacement, Salter ne cherche en rien à excuser ou expliquer son comportement : il montre un homme dévolu à la montagne, habité par la passion, seul ou accompagné d’autres anglo-saxons partageant cette volonté de se frotter à la montagne : « La passion de l’escalade s’était emparée de Rand. À peine avait-il fini une course qu’il repartait pour la suivante. Il fit la Blaitière avec Cabot et refit les Drus avec Bray – par la voie normale, cette fois. Il en revenait inassouvi ou à la limite de l’épuisement mais, le lendemain, il se réveillait frais comme un gardon. Il n’avait plus que cela en tête comme si c’était la première fois qu’il grimpait. Et quand il grimpait, la vie jaillissait en lui à la manière d’un geyser impétueux. Ses ambitions, au début, avaient été modestes mais, après les Drus, c’était différent. Un bonheur intense, indestructible, l’habitait. Il avait trouvé sa raison d’être. »Il avait trouvé sa raison d’être sans devoir chercher plus avant, aussi parce que Vernon Rand est une figure exceptionnelle d’être anti-intellectuel ; non pas une brute, non pas un sot, juste une personne fascinante sans les artifices de l’esprit, ainsi que le comprend Simone, une de ses maîtresses parisiennes (il s’est rendu dans la Ville-Lumière suite à une célébrité acquise lors d’un sauvetage hautement médiatisé) : « Il me faisait l’effet d’un type extraordinaire […]. Mais, en même temps, il m’agaçait. Je ne savais pas de quoi parler avec lui. On ne peut vraiment pas dire que ce soit un intellectuel de choc. Il ne connaît rien ni à l’art ni à la politique. Et pourtant, j’étais prête à lui baiser les pieds. En dépit de tout, il a quelque chose de fascinant, ce garçon. » Au travers de Rand, ce que dépeint Salter, ce n’est pas une énième image du bon sauvage, car son personnage n’est ni bon, ni mauvais (on ne parvient d’ailleurs pas à le juger lorsqu’il laisse en plan une jeune femme enceinte de lui – il est vrai que celle-ci a la clairvoyance de ne pas vouloir le retenir) : c’est juste un homme passionné par l’escalade et ses défis, qui ne s’intéresse à rien, si ce n’est un peu de poésie (Maïakovski, excusez du peu) et « inspirer de l’envie aux gens », ce qui fait de lui un personnage très moderne, un lointain cousin d’un Meursault aux côtés de qui, pour citer Paula, « on a un peu l’impression d’être suspendu dans le vide ». Et pour donner vie et chair à pareil personnage sans le faire détester, il fallait bien toute la grâce littéraire d’un James Salter.
Voici un livre étrange ,livrant un regard des plus inattendus sur ces conquérants de la montagne que sont les alpinistes .Les personnages principaux (Rand et son "ami "Cabot ) sont affublés d'une moralité plus que douteuse .Une admiration réciproque semble les lier alors que leur vision d'exploit est bien différente .Rand est un homme solitaire plutôt humble et fuit un monde où il ne trouve pas vraiment sa place en se réfugiant dans la solitude des montagnes et en multipliant les exploits d'abord accompagné d'autres montagnards puis seul après qu'une rivalité se soit installé avec son ami Cabot.Et lorsque Rand forme une cordée pour aller secourir des alpinistes en détresse c' est plus pour donner le pendant à son "ami" Cabot en un duel à distance où il lui fait comprendre que lui aussi peut devenir un héros en accaparant les médias s'il le souhaite.Cabot qui avide de gloire semble être capable de tout quand il s'agit d'arriver le premier au sommet...Comme je vous le disais en préambule un libre bien différent de ce que j'ai lu jusqu'à présent concernant ce milieu où l'on met plutôt l'accent sur la solidarité entre alpininistes (présent chez Frison-Roche,Krakauer, Archer,Diemberger) et donc forcément déstabilisant voire décevant dans ce livre, de plus la traduction m'a semblé approximative sur certaines phrases.Les descriptions des exploits et des paysages manquent d'exaltations ,bref vite lu et vite oublié ,reste le pari d'avoir fait un livre avec des héros antipathiques.
Rand quitte les toits brûlants de Californie où il faisait de petits travaux, pour Chamonix, mu par l'amour des grands espaces, de la montagne, de la grimpe. Il y vit de façon très simple, un peu reclus, et y fait la rencontre d'autres alpinistes, y retrouve un ancien ami grimpeur, et se donne chaque jour des défis plus fous les uns que les autres. Cet amour de la montagne et surtout l'envie de se surpasser les emmènera sur des parois verticales verglacées très dangereuses, et les amènera même à sauver une cordée coincée dans les Drus. Un roman qui rappelle les "Frison Roche" et qui nous fait vivre ces courses en montagne comme si nous y étions, sans même appartenir à ce milieu. Il nous donne une idée de ce qui fait avancer ces conquérants de l'inutile. Un livre qui se lit facilement, et qu'on a du mal à refermer. C'est sûr, après avoir lu ce livre, on ne regardera plus les montagnes de la même façon.
Le livre est trop court pour qu'on ait le temps de s'ennuyer, mais je suis resté totalement indifférent à ce récit.
L'histoire est sans grand intérêt,racontée avec nonchalance ,pour ne pas dire paresse,la traduction est à l'avenant, avec des erreurs qui trahissent le manque d'intérêt compréhensible du traducteur.Le parcours du héros(la Californie,puis Chamonix et la chaine du Mont Blanc,puis Paris,puis Chamonix à nouveau,..) n'éveille aucun écho.Le battage autour de Salter m'a paru excessif et ce livre ne me fera pas changer d'avis..
L'Homme des hautes solitudes, by James Salter PDF
L'Homme des hautes solitudes, by James Salter EPub
L'Homme des hautes solitudes, by James Salter Doc
L'Homme des hautes solitudes, by James Salter iBooks
L'Homme des hautes solitudes, by James Salter rtf
L'Homme des hautes solitudes, by James Salter Mobipocket
L'Homme des hautes solitudes, by James Salter Kindle
0 comments: